mercredi 31 octobre 2007

FIORENTINA - NAPOLI SERIE A


Formation Probable 3-5-2

1 Iezzo 16 Cupi 28 Cannavaro 21 Domizzi 14 Garics 17 Hamsik 23 Gargano
18 Bogliacino 19 Savini 9 Sosa 7 Lavezzi

22 Gianello 96 Contini 2 Grava 4 Montervino 20 De Zerbi 24 Dalla Bona 11 Calaio'

(Malgré une légère blessure il y'a une possibilité de voir Zalayeta dans le groupe ce soir)


Fiorentina Joueurs convoqués

Portieri: Frey, Lupatelli
Difensori: Balzaretti, Dainelli, Krodlrup, Gamberini, Pasqual, Potenza
Centrocampisti: Donadel, Jorgensen, Kuzmanovic, Liverani, Montolivo, Pazienza, Semioli
Attaccanti: Mutu, Osvaldo, Pazzini, Vieri


Bilan des matchs contre la Fiorentina

60 match en Serie A et 6 en Coppa.
35 victoires de la Fiorentina 18 match nul 13 victoires de Naples
103 buts de la Fiorentina 52 buts de Naples
Dernière victoire de la Fiorentina : 22 mai 2004 : 2-1
Dernier match Nul : 18 avril 1993 : 1-1
Dernière victoire de Naples : 17 giugno 2001 : 1-2

Suspension annulé

Le juge sportif Tosel a annulé la suspension de l'attaquant partenopeo Marcelo Zalayeta.
Le recours d'urgence présenté hier soir par la direction du club a était accepté.
Des nouvelles images provenant de medias napolitains font état d'une faute de Legrottaglie sur Zalayeta, le saut par dessus Buffon devient alors secondaire surtout que le joueur s'est immediatement relevé de sa chute.

mardi 30 octobre 2007

Communique officiel

Communique officiel du Napoli SSC

Ayant acquis hier tard dans la soirée de nouveaux éléments qui décharge Zalayeta, le club présente une réclamation d'urgence pour annulé les deux journées de suspensions du footballeur.

lundi 29 octobre 2007

Infos du jour

Coup dur pour Napoli Zalayeta a était condamné a 2 matchs de suspensions pour simulation lors du match de Samedi contre la Juventus.
Le joueur a tenu par ailleurs a préciser qu'il a seulement voulu éviter un dangereux heurte avec son ex partenaire d'équipe Buffon.
La direction Napolitaine à déclaré qu'elle ne ferait pas appel de la décision du tribunal sportif.

Suite a sa blessure contracté Samedi Manuele Blasi a été ausculté par le Professeur Mariani à Rome. Il sera indisponible 1 mois a cause d'une entorse au genoux.

Malgré le faite que le match de mercredi contre la Fiorentina soit placé a haut risque; 2000 supporters Napolitains feront le déplacement à Florence pour soutenir leur équipe.

dimanche 28 octobre 2007

Napoli Juventus 3-1


FORMATIONS

NAPOLI (3-5-2): 1 Iezzo; 16 Cupi, 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 14 Garics (Contini 84'), 8 Blasi, 23 Gargano, 17 Hamsik, 19 Savini; 7 Lavezzi (Calaiò 78'), 25 Zalayeta (Sosa 90').
PANCHINA: 22 Gianello, 96 Contini, 4 Montervino, 18 Bogliacino, 20 De Zerbi, 11 Calaiò, 9 Sosa. All. Reja

JUVENTUS (4-4-2): 1 Buffon; 21 Grygera (Marchionni 75'), 33 Legrottaglie, 3 Chiellini, 28 Molinaro; 7 Salihamidzic, 23 Nocerino, 4 Almiron (Tiago 87'), 20 Palladino (Iaquinta 80'); 10 Del Piero, 17 Trezeguet.
PANCHINA: 12 Belardi, 2 Birindelli, 19 Criscito, 32 Marchionni, 6 C. Zanetti, 30 Tiago, 9 Iaquinta. All. Damiano

ARBITRO: Bergonzi di Genova (Stefani-Faverani. 4° uomo: N. Ayroldi).

MARCATORI: Del Piero 46', Gargano 49', Domizzi (rigore) 62', Domizzi (rigore) 70'
AMMONIZIONI: Domizzi 20', Nocerino 50', Buffon 68', Chiellini 83'


NOTES DES JOUEURS

IEZZO 6,5; CUPI 6,5; CANNAVARO 7,5; DOMIZZI 7.5; GARICS 5,5; BLASI 8,5;
GARGANO 7,5; HAMSIK 6,5; SAVINI 7; LAVEZZI 6,5; ZALAYETA 5,5

vendredi 26 octobre 2007

Napoli - Juventus (Avant match)


FORMATIONS PROBABLES

NAPOLI (3-5-2): 1 Iezzo; 16 Cupi, 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 14 Garics, 8 Blasi, 23 Gargano, 17 Hamsik, 19 Savini; 7 Lavezzi, 25 Zalayeta.
PANCHINA: 22 Gianello, 96 Contini, 4 Montervino, 18 Bogliacino, 20 De Zerbi, 11 Calaiò, 9 Sosa. All. Reja

JUVENTUS (4-4-2): 1 Buffon; 21 Grygera, 33 Legrottaglie, 3 Chiellini, 28 Molinaro; 7 Salihamidzic, 23 Nocerino, 6 C. Zanetti, 20 Palladino; 10 Del Piero, 17 Trezeguet.
PANCHINA: 12 Belardi, 2 Birindelli, 19 Criscito, 8 Camoranesi, 4 Almiron, 30 Tiago, 9 Iaquinta. All. Damiano

ARBITRO: Bergonzi di Genova (Stefani-Faverani. 4° uomo: N. Ayroldi)

dimanche 21 octobre 2007

Roma-Napoli 4-4 Serie A


FORMATIONS

ROMA
(4-2-3-1): 1 Curci; 3 Cicinho (Cassetti 60'), 5 Mexes, 21 Ferrari, 22 Tonetto; 16 De Rossi, 7 Pizarro; 30 Mancini (Vucinic 65'), 14 Giuly (Panucci 91'), 20 Perrotta; 10 Totti.
PANCHINA: 27 Julio Sergio, 4 Juan, 77 Cassetti, 2 Panucci, 29 Barusso, 33 Brighi, 9 Vucinic. All. Spalletti

NAPOLI (3-5-2): 1 Iezzo; 16 Cupi (Contini 78'), 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 14 Garics, 8 Blasi, 23 Gargano, 17 Hamsik, 19 Savini (Calaiò 83'); 7 Lavezzi (Bogliacino 86'), 25 Zalayeta.
PANCHINA: 22 Gianello, 96 Contini, 4 Montervino, 18 Bogliacino, 20 De Zerbi, 11 Calaiò, 9 Sosa. All. Reja

ARBITRO: Tagliavento di Terni (Biasutto-Lion. 4° uomo: Morganti)

BUTEURS: Lavezzi 2', Totti (rigore) 30', Perrotta 41', Hamsik 46', De Rossi 52', Gargano 64', Pizarro 80', Zalayeta 84'
AVERTISSEMENTS: Lavezzi 29', Ferrari 53', Cupi 58', Hamsik 59', De Rossi 61'

NOTES DU MATCH



IEZZO 4; CUPI 6,5; CANNAVARO 5,5; DOMIZZI 7; GARICS 6; BLASI 7; GARGANO 7; SAVINI 6,5; HAMSIK 8; LAVEZZI 7; ZALAYETA 6,5

RESUME VIDEO DU MATCH


vendredi 19 octobre 2007

Andrea Russotto future acquisition de Naples

Diverses sources confirmes comme officiels l'acquisition du jeune espoir italien de 19 ans Andrea Russotto par Napoli.
L'accord a pu être trouvé grace aux excellents liens qui unissent Napoli à Trévise , après les cessions à titre définitif de Trotta et à titre de prêt de Pià et d'Amodio.
Le Transfert sera effectif à la réouverture du mercato de janvier.

Doué d'une grande technique et d'une grosse accélération, Andrea Russotto est une des plus grandes promesses du football italien. Positionné milieu offensif il évolue aussi souvent avec son club sur les ailes il possède par ailleurs une excellente vision de jeu.

ROMA - NAPOLI


FORMATIONS PROBABLES

ROMA
(4-2-3-1) – 32 Doni; 2 Panucci, 5 Mexes, 21 Ferrari, 22 Tonetto; 16 De Rossi, 7 Pizarro; 30 Mancini, 14 Giuly, 9 Vucinic; 10 Totti.
PANCHINA: 1 Curci, 4 Juan, 77 Cassetti, 3 Cicinho, 29 Barusso, 33 Brighi, 20 Perrotta. All. Spalletti

NAPOLI (3-5-2) – 1 Iezzo; 16 Cupi, 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 14 Garics, 8 Blasi, 18 Bogliacino, 17 Hamsik, 19 Savini; 7 Lavezzi, 25 Zalayeta.
PANCHINA: 22 Gianello, 96 Contini, 4 Montervino, 23 Gargano, 20 De Zerbi, 11 Calaiò, 9 Sosa. All. Reja

ARBITRO – Tagliavento di Terni

mercredi 17 octobre 2007

Infos du jour

Le match de Samedi qui opposera la Roma à Napoli est classé a haut risque par les autorités afin d'éviter tout affrontement la partie de l'Olimpico réservé aux visiteurs sera entièrement fermé; quand aux Romains seul les abonnés auront accès au Stade qui sera probablement rempli a hauteur de 27000 spectateurs sans aucun napolitain.


Dans l'affaire des Banderoles racistes Le Juge Sportif a condamné l'Inter a 30.000 euros d'amendes et à la fermeture de la Curva Nord pour le prochain match de Serie A.

Une rumeur fait état d'un appel au rassemblement de la part des Tifosi Napolitain Samedi aux abords du San Paolo afin de manifester contre les mesures prisent a leurs encontre par le ministère de l'intérieur qui les a interdit pour la deuxième fois consécutive de suivre leur équipe en déplacement (Inter et Roma).

En direct de CastelVolturno

Après être finalement resté a Naples malgré les déclarations de Marino c'est ce soir que l'équipe partira en retrait afin de préparer le tant attendu "derby du Sud".
Gargano ne rentrera que samedi de sélection ce qui devrait pousser Reja a le laisser au repos, aujourd'hui Dalla Bona a effectué le match d'entraînement avec les titulaires (peut etre une titularisation pour Samedi) a noter que Rullo faisait aussi parti du groupe dont l'attaque était mené par le tandem Lavezzi/Zalayeta.
Quand a Hamsik et Garics il devraient rejoindre leurs coéquipiers respectivement demain et vendredi.

Squadra Azzurra

L'Italie a battu l'Afrique du Sud 2 buts a zero ce soir a Sienne grâce a un doublé de Lucarelli, Cannavaro Junior qui espérait fêter sa première sélection n'est malheureusement pas rentré en jeu.

lundi 15 octobre 2007

Retrait a "Borghesiana"

Suite à l'épisode de la rixe entre Sosa et Domizzi.
Marino a confirmé le retrait de l'équipe à "Borghesiana" a partir de ce soir, par ailleurs les 2 joueurs ont écopé d'une amende.

Hier ces derniers se sont réconciliés pendant l'entraineur par une embrassade, le tout sous les applaudissements de leurs coéquipiers.

dimanche 14 octobre 2007

Paolo Cannavaro appelé en Nazionale


Après la victoire de l'Italie 2-0 (buts de Pirlo et Grosso) contre la Géorgie en éliminatoire de l' EURO, voici une bonne nouvelle tous les tifosi napolitains. En effet Paolo Cannavaro a été appelé en Nazionale pour le match amical de mercredi contre l'Afrique du Sud.

En souhaitant à Paolo une grande carrière international a l'image de celle de son frère. - Congratulazione Paolo

samedi 13 octobre 2007

Altercation entre Domizzi et Sosa

Le Staff Napolitain a décider à titre de punition de partir pour un retrait à la Borghesiana dans la banlieue de Rome , suite à la rixe survenue hier après-midi entre Maurizio Domizzi et Roberto Sosa.

Cette bagarre intervenue suite a un tacle musclé de Domizzi sur Sosa à forcer les coéquipiers de ces derniers a intervenir pour les séparer. Tout ça sous les yeux de Marino et Reja qui est resté assis sur son banc. Malgré une poignée de mains entre les deux protagonistes de cette bagarre, l'équipe partira quand même pour un retrait punitif dés lundi à la Borghesiana. Les deux joueurs quand a eux ont étaient convoqués dans le bureau de Marino, ils encourent une amende.

Aujourd'hui Reja sur le site officiel du club est revenu sur l'incident d'hier :

"Rien de grave. Il y a eu une petite attrapade après une entrée en jeu. Ce sont des choses qui pendant la semaine peuvent arriver. Je peux me vanter d'une carrière longue et à la lumière de mon expérience je peux vous garantir que j'en ai vu des dizaines d'épisodes de ce genre, et dans toutes les équipes que j'ai entrainé.
Mais je répète, c'est réglé. Domizzi et Sosa, et vous le savez mieux que moi, sont deux grands professionnels avec une carrière qui parle pour eux. Tout est rentrée trés rapidement dans l'ordre et maintenant ils sont encore plus amis qu'avant "

Je ne sais pas quel crédit à apporter a cette déclaration. Mais ce qui est sur c'est que Reja a intérêt a remette rapidement de l'ordre dans le vestiaire sous peine de le voir exploser.


Terrains d'entrainements de Borghesiana

NB : Pour le moment aucune source officielle n'est venu confirmé le retrait a Borghesiana.

vendredi 12 octobre 2007

Lavezzi : "Je n'ai peur de personne"

Pocho, à la reprise il y a la Roma et la confrontation donc avec Totti, cela te préoccupe ?
"Absoluement pas. Je n'ai peur de personne, parce que sur le terrain nous sommes 11 contre 11. Et Napoli a de grandes qualités ".
Lavezzi sur les éloges que lui a adressé Moratti :
"Je ne m'interesse pas aux autres équipes, aux adversaires que nous affrontons.
Les uniques jugements dont je tiens réellement compte sont ceux de mon equipe et de mes tifosis".

Calendriers des Matchs Décalés


Voici les matchs décalés du week end de la 8 eme à la 13 eme journée.

Journée :
Samedi 20 octobre: heure 18.00, Roma - Napoli
Samedi 20 octobre: heure 20.30, Reggina - Inter
Dimanche 21 octobre: heure 20.30, Juventus - Genoa

Journée:
Samedi 27 octobre: heure 18.00, Torino - Cagliari
Samedi 27 octobre: heure 20.30, Napoli - Juventus
Dimanche 28 octobre: heure20.30, Genoa - Fiorentina

11° Journée:
Samedi 3 novembre: heure 18.00, Lazio - Fiorentina
Samedi 3 novembre: heure 20.30, Milan - Torino
Dimanche 4 novembre: heure 20.30, Juventus - Inter

12° Journée:
Samedi 10 novembre: heure 18.00, Sampdoria - Empoli
Samedi 10 novembre: heure 20.30, Palermo - Napoli
Dimanche 11 novembre: heure 20.30, Roma - Cagliari

13° Journée:
Samedi24 novembre: heure 18.00, Genoa - Roma
Samedi 24 novembre: heure 20.30, Inter - Atalanta
Dimanche 25 novembre: heure 20.30, Juventus - Palermo

La 10ème journée se joue en semaine le 31 Octobre

jeudi 11 octobre 2007

Emanuele Calaiò vers un départ ?

Alors qu' Emanuele Calaiò est devenu le 5 eme attaquant dans la hiérarchie de Mister Reja (derrière Lavezzi, Zalayeta, Sosa et De zerbi). Un transfert lors du mercato hivernal est de moins en moins écarté.

Fiorentina, Palerme et Genoa veulent Emanuele Calaiò. Ce sont les trois sirènes qui tentent de séduire le buteur Napolitain. Ce dernier a remercié de l'intérêt que lui portent ces 3 clubs, mais il compte prendre son temps. Il attendra jusqu'à janvier pour ce décider.

Il n'a pour le moment aucune intention de quitter Naples, mais si son temps de jeu devait rester le même qu'a ce jour il serai malgré lui forcer d’aller exprimer ses talents ailleurs.
"J'ai épousé le projet de De Laurentiis et de Marino lorsque l'équipe végété en C1, je considère avoir réussit mon pari en contribuant à remonter Naples en série A", Voila ce que Calaio' déclaré en juillet alors qu’il était en retrait avec Naples en Autriche.
Ceci était la pensée de Calaiò lorsqu'on parlait de lui comme de l'attaquant numéro 1 de l'équipe. "Ca sera lui la pointe", disait alors Reja.

De ces jours il ne s’est pas écoulé énormément de temps, mais on a vérifié quelques épisodes qui ont enlevé le sourire a Emanuel comme la signature de Zalayeta.

Calaiò entama le premier match contre Cagliari, ensuite il ne joua pas à Udinese ; et apres il effectura quelques brèves apparitions: 5 'contre la Samp, 27 ' contre Empoli, 19 'contre Livourne, 20 'contre Genoa et 8' contre l'Inter (Temps additionnels des 2nd périodes compris).

Il ne sourit plus beaucoup, Manuele, mais il est serein, s'entraîne avec concentration et détermination.

Il n'a fait aucunes polémiques au sujet de ses apparitions au compte-gouttes. Il est resté muet, comme d'autres dans l'équipe, même lorsque Reja après le match d’Udinese eu ses mots très dur envers lui : "Zalayeta sera titulaire même s'il est a 70% de sa condition". La déclaration de Reja ne lui a pas enlevé cependant l'envie de bien faire. "J'ai épousé le projet- Napoli, je veux jouer pour à avec Naples", avait il dit.

Mais au faite de quels joueurs Calaio' est-il le remplaçant ? De Zalayeta ? De Lavezzi ? Lorsque à Milan est sortie Zalayeta, est entrée Sosa. Lorsque Lavezzi fut mit au repos, c’est De Zerbi qui prit sa place.

Il reste 10 matchs en attendant l'ouverture du mercato en Janvier en espérant que Reja fasse plus confiance a L'Arciere et qu'il retrouve un temps de jeu convenable et le chemin des filets.

Roberto Carlos Sosa dit "El Pampa"

Né le 24 janvier 1975 Buenos Aires (Argentina) - Surnom « El Pampa »

Attaquant puissant (189 cm pour 86 kg), c'est en 1995 qu'il debuta sa carriere en Argentine dans l'équipe de la Gimnasia La Plata, il y disputa 83 matchs et y marqua 37 buts.
Ses performances de Buteur attirèrent la convoitise de nombreux clubs Européens.
En 1998 il signa finalement a Udinese et y resta 4 saisons jusqu’en 2002 ; il y inscrira 34 buts en 104 matchs
Après une brève parenthèse à titre de prêt au Boca Juniors et de nouveau dans la Gimnasia La Plata , Sosa retourna en Italie pour jouer toujours à titre de prêt, en Série B d'abord à Ascoli, ensuite à Messine où il a conquis la promotion en Série À. En septembre 2004 Udinese se décida a le vendre définitivement au SSC Napoli qui joué alors en série C.

Il marqua son premier but avec le maillot azzurri lors du match Napoli-Chieti le 31 octobre 2004, il inscrira 14 buts lors de ses deux saisons passées en Serie C avec Napoli.
En 2006 Napoli obtient sa promotion en Série B.
Durant la saison 2006-07 Sosa démarra l’année comme remplaçant , la seconde partie de saison il gagnera sa place de titulaire ce qui lui permis d’inscrire des buts au combien important comme contre le Piacenza, la Cesena et AlbinoLeffe qui ont été fondamentales pour la promotion des azzurri en Série A.


Signe du destin c’est a Udinese le 2 septembre 2007 que Sosa fêta son 100eme matchs avec Naples il inscrira même le cinquième et dernier but du match pour une victoire des siens 5 a 0.
Il célébra son but en exposant un t-shirt où figuré l’image de Maradona et l’inscription "Qui aime n'oublie pas" ; un t-shirt devenu désormais culte pour les tifosis Napolitains.

Doué d'un excellent jeu de tête et possédant une excellente frappe de balle, il est toujours très redoutable dans les 16 mètres grâce a son placement et son sens du but ; son point faible est la vitesse.

Leader naturel dans le vestiaire, le président De Laurentiis lui a même proposé récemment un poste dans l’encadrement technique du Napoli dés la fin de sa carrière.



mercredi 10 octobre 2007

Un peu d'Histoire

France Football du Mardi 30 Novembre 2004


NAPLES GRANDEUR ET DÉCADENCE

Avec le temps, ils vont bien finir par s’y habituer. Et alors, Giovanni Ignoffo et ses camarades ne seront probablement plus pris par cette sensation bizarre en entrant sur le terrain. Une drôle de sensation où se mêlent peur, excitation, respect, inconscience et nostalgie. Car c’est un peu ce qui arrive tous les quinze jours à ces joueurs au maillot bleu,azzurro comme on dit là-bas, lorsque leur équipe évolue à domicile. Quelle équipe ? Le Napoli Soccer, pensionnaire du groupe B de Serie C 1 (l’équivalent italien du National) et héritier direct du défunt Napoli Calcio, le club qui fut celui de Diego Maradona, d’Antonio Careca, mais aussi de Laurent Blanc et d’Alain Boghossian.

Tous vous diront que c’est un sacré avantage que d’évoluer au San Paolo, cette immense arène coincée dans le quartier populaire de Fuorigrotta, dans la partie nord-ouest de Naples. Ici, la ferveur des tifosi a souvent fait des miracles, poussant les joueurs du cru à se sublimer lors des matches au sommet de Serie A ou bien à l’occasion des joutes européennes du plus prestigieux club du sud de l’Italie. Ces gradins exaltent l’histoire extraordinaire d’une équipe qui avait su défier et renverser l’ordre établi pour conquérir ce Scudetto jamais descendu en dessous de Rome.


LA FERVEUR DU SAN PAOLO

C’était il y a dix-sept ans. Maradona et ses camarades remportaient le premier des deux Championnats d’Italie aux couleurs napolitaines. Depuis, le club a vécu des hauts et des bas. Pour être plus honnête, quelques hauts dans la première moitié des années 90, puis beaucoup de bas par la suite. Il est d’ailleurs tombé tellement bas, le Napoli, qu’il a fini par ne pas se relever et que, pour continuer l’aventure, on a dû lui trouver un nouveau nom et une place plus modeste sur l’échiquier du football italien.

Mais les Napolitains, par amour et par orgueil, animés de cette force que l’on ne trouve que dans les moments difficiles, ne l’ont pas abandonné. Et cela, les hommes de Giampiero Ventura, le nouveau patron du banc de touche du San Paolo, le constatent à chaque rencontre à domicile. Il y a dix jours, pour le compte de la 11e journée de Championnat, près de 30 000 personnes avaient conflué jusqu’à l’enceinte de Fuorigrotta. Soit la deuxième plus grosse affluence du week-end pour tout le pays, derrière un Palerme-Milan AC de Coupe d’Italie.

Un avantage que d’évoluer au San Paolo ? Pas sûr que les joueurs du Napoli Soccer aient totalement assimilé ce concept. Pour eux, cette foule, cette ferveur sont un élément peu évident à maîtriser. C’est ce que l’on a encore constaté face à la Sambenedettese où l’équipe de Ventura semblait condamnée à sa deuxième défaite de la saison à domicile, après celle face à Chieti, fin octobre. Mais Giovanni Ignoffo a su sortir de sa torpeur avant ses petits camarades : le doublé du défenseur va offrir le succès aux Napolitains et leur permettre de conforter leur place dans la première partie de tableau, loin encore, cependant, du leader Rimini.

« Oh, Giovanni ! Si tu continues comme ça, tu vas remporter le Ballon d’Or ! » lance, quelques jours plus tard, Pierpaolo Marino à Ignoffo, sauveur dominical, dans le hall du Holliday Inn de Castelvolturno, quartier général du club. Le directeur général du Napoli Soccer a parfaitement compris la situation. Pour lui, cette saison en Serie C 1 ne sera pas une partie de plaisir. Pression du public, motivation de l’adversaire, chaque match s’apparente à une bataille pour ses troupes. Une bataille d’abord à remporter sur soi-même. Alors, il a choisi de dédramatiser, de jouer le carte de l’humour. Enfin, cette fois-ci, car après la défaite face à Chieti, on parlait plutôt de mise au vert permanente !

Marino était dirigeant de Naples à l’époque dorée de Maradona. C’est même lui qui, alors qu’il travaillait à Avellino, avait mis l’ingegnere Ferlaino, président du Napoli Calcio pendant une vingtaine d’années, sur la piste du transfert du Pibe de Oro, avant de se voir proposer une place dans le grand club de Campanie. La saison dernière, il œuvrait du côté de l’Udinese, mais n’a pas hésité bien longtemps à descendre de deux divisions pour prêter main forte aux Azzurri, empêtrés dans une nouvelle, inhabituelle réalité.

Un club comme Naples en Serie C, cela a vraiment de quoi choquer. De fait, si l’on excepte l’époque des pionniers (Pro Vercelli, Novese, Juve Casale) – celle d’avant la création de la Serie A –, seuls trois anciens lauréats du Scudetto (Fiorentina, Cagliari, Bologne) ont connu pareille mésaventure. « Mais le Napoli en Serie C, c’est encore une autre histoire, intervient Marino. Naples, c’est la troisième agglomération d’Italie (NDLR : après Milan et Rome), des millions de supporters à travers le monde. Alors, vous imaginez, le retrouver en C 1... Je dis toujours que cela s’apparente à l’idée de mettre une baleine dans un aquarium. A la fin, la baleine risque de mourir, mais l’aquarium peut aussi se casser ! »

Pour l’instant, les Napolitains y nagent avec plaisir. Et en masse. Si elle est parfois suffocante, l’affection dont font preuve les supporters peut se définir comme exceptionnelle. Comment qualifier autrement un public capable de se retrouver à 50 000 pour la première rencontre de Championnat, le 26 septembre dernier face au Cittadella ? Et que dire des 62 700 spectateurs payants du derby régional contre Avellino, à la mi-octobre ? Incroyable : le même week-end, aucun match de Serie A n’avait pu rivaliser avec une telle affluence, seuls le Bayern Munich (63 000 personnes pour le sommet face à Schalke 04) et Benfica (65 000 au stade de la Luz pour la visite du FC Porto) avaient pu faire mieux dans toute l’Europe !

Naples a, bien évidemment, battu tous les records de recette (près de 600 000 euros face à Avellino) et d’affluence (détenu par la Fiorentina depuis 2002-03) de Serie C 1 et C 2. « Quelque part, nous sommes une manne pour ce Championnat de Troisième Division, explique, jovial, Pierpaolo Marino. Car les autres clubs empochent des droits télé et des parts sur les recettes au San Paolo largement au-dessus de la moyenne (on peut les estimer aux alentours de 100 000 € par club). Pensez que l’Avellino a encaissé lors de sa venue à Naples l’équivalent de six ou sept matches dans son propre fief. Et que le Cittadella est reparti avec autant que l’ensemble de ses recettes à domicile pour toute la saison. »

En repassant devant le San Paolo, le chauffeur de confiance du club, Armandino, véritable célébrité locale, en rajoutera une couche : « Impossible de se mesurer à la passion des Napolitains ! Vous rendez-vous compte que près de 20 000 personnes ont souscrit un abonnement à l’année, plus que la capacité totale de la plupart des stades dans lesquels va jouer le Napoli cette saison en C 1 ! »

LE TRIBUNAL PRONONCE LA MISE EN FAILLITE.

Cet engouement n’est pas une surprise. Le public napolitain a rarement fait faux bond. Sans remonter au record de la première saison de Maradona au San Paolo (67 398 abonnés en 1984-85), on a régulièrement pu constater son attachement ces dernières années, malgré les décevantes prestations de l’équipe en Serie B. Et à Naples, personne n’oublie que, en juillet, ils étaient plus de 40 000 à s’être présentés à Fuorigrotta pour apporter leur soutien au club. Quarante mille supporters à chanter, fraterniser et espérer.

Nous sommes alors en plein cœur de l’été. Comme c’est malheureusement devenu une habitude depuis trois ans, le Napoli gâche les vacances de ses partisans en présentant une copie brouillonne devant la commission de la COVISOC, la DNCG italienne. En 2002, cette dernière avait bloqué l’inscription du club en Championnat de Serie B et Salvatore Naldi, le président de l’époque, avait dû verser 3,5 M€ pour remédier à cette situation. L’an dernier, Naples, comme la Roma en Serie A, avait carrément été au centre d’un imbroglio financier : les garanties bancaires versées pour l’inscription étaient des faux ! Un pépin qui avait failli coûter cher dans un contexte déjà difficile, avec les recours intentés devant la magistrature civile par le propriétaire de Catania (et accessoirement de Pérouse), Luciano Gaucci, qui exigeait de rester en Serie B à la suite d’une histoire de joueur non qualifié et de match à gagner sur tapis vert. L’affaire fut résolue in extremis par le gou- vernement Berlusconi, qui imposa un Championnat à 24, annulant toutes les relégations. Si le recours de Gaucci était allé jusqu’au bout, Naples aurait dû disputer un match de barrage contre Venise pour éviter la Serie C 1...

Adversaire l’année précédente, Luciano Gaucci apparaît pourtant tel un sauveur en cet été 2004. L’homme qui a fait venir Nakata et Kadhafi à Pérouse, se dit prêt à aider le club. Il veut s’en emparer sous la forme d’un leasing, achetant les droits sportifs sans prendre en charge les dettes. Il faut dire que le Napoli Calcio a dépassé la cote d’alerte. Les caisses sont vides, les comptes font état d’un déficit de 65 M€. Et Naldi n’est plus en mesure d’éponger le passif. En deux ans, ce respectable propriétaire d’hôtels de luxe a englouti 70 M€ pour prendre le contrôle du club et devrait en verser encore 30 pour solder les comptes avec le précédent président, Giorgio Corbelli, patron d’une société spécialiste d’enchères sur Internet, qui avait lui-même racheté le Napoli à Corrado Ferlaino.

C’est pour éviter la faillite, pour mobiliser les pouvoirs publics, que les 40 000 supporters se sont réunis au San Paolo, le 26 juillet 2004. Depuis quelques jours, Naples voit fleurir les banderoles. « Ne détruisez pas notre histoire », peut-on lire en plein cœur d’une artère des Quartieri Spagnoli, zone très populaire de Naples, non loin du centre d’entraînement de Soccavo. Dans le centre-ville, des gens d’Alleanza Nazionale – parti de droite, membre de la coalition gouvernementale – ont tapissé tous les murs avec des affiches qui précisent que : « notre bataille est le Napoli en Serie B ». En vue des élections régionales de 2005, le sort du club de foot n’est assurément pas un dossier secondaire.

Mais rien n’y fait. Le 3 août, la 7e section du tribunal de commerce de Naples prononce la mise en faillite du club. Neuf jours plus tard, le Conseil fédéral confirme l’avis de la COVISOC : le Napoli Calcio n’a pas sa place en Serie B. Une claque pour Gaucci, qui avait déclaré : « Ce sera la B ou rien. J’aurais honte d’être le dirigeant d’un Napoli en Serie C. Ce monument du football italien ne mérite pas cela. »

Le Napoli ne mérite surtout pas les spéculations dont il est l’objet sur son lit d’agonisant. Des investisseurs plus ou moins sérieux ont pointé le bout de leur nez. On parle d’un milliardaire jordanien, voire d’une mystérieuse secte américaine disposant de fonds coréens. Un riche Napolitain émigré à Los Angeles se dit également prêt à sauver le club, à la seule condition qu’il se maintienne en Serie B. Fin août, il ne restera plus que trois candidats à la reprise du club en Serie C 1 : le projet Napoli FC, soutenu par Paolo Di Luca, le président de Sienne, pensionnaire de l’élite italienne ; Azzurra Calcio Napoli, un groupe conduit par Luis Vinicio, ancien joueur et entraîneur du club, qui mise sur l’actionnariat populaire ; Napoli Sport, émanation d’un pool de jeunes entrepreneurs napolitains.

Aucun ne sera retenu. Car, début septembre, un quatrième larron fait son entrée en scène : Aurelio De Laurentiis, cinquante-cinq ans, producteur cinématographique de renom (à la tête de la FilmAuro, il est à l’origine de succès tels que le Monstre de Roberto Begnini, le Cinquième Elément ou Hannibal, la suite du Silence des agneaux). Né à Rome, mais originaire de la région de Naples, il déclame son amour sans réserve, ambitieux et un rien provocateur : « Je suis fou de Naples et du Napoli. Même si j’habite à Rome, je ne suis jamais allé voir jouer la Roma ou la Lazio. Et de constater que, aujourd’hui, on en est réduit à lutter pour être intégré en B, cela me met en rogne. Vous plaisantez ou quoi ? La Serie A ne me suffit pas : je rêve de Ligue des champions pour voir jouer le Real Madrid et Manchester United au San Paolo. Donnez-moi cinq ans et Naples sera à nouveau dans le grand giron européen ! »

LA SERIE C, UN UNIVERS IMPITOYABLE.

Malgré sa verve et ses propos triomphalistes, De Laurentiis ne brûle pas les étapes. Il s’accorde d’abord avec le tribunal de commerce de Naples pour reprendre les droits sportifs du Napoli Calcio en échange d’un investissement de 29,2 M€, écartant définitivement le spectre de la disparition pure et simple du club, et la menace de devoir repartir du plus petit échelon amateur. Le 7 septembre, le nouveau patron de Naples enregistre le feu vert du Conseil fédéral pour l’intégration du Napoli Soccer, nouvelle dénomination du club, en Serie C 1. Dix jours supplémentaires sont accordés pour le recrutement et les deux premiers matches de Championnat reportés. Le grand club du sud de l’Italie vient de renaître de ses cendres.

Si De Laurentiis apporte les fonds, la gestion au quotidien est confiée à Pierpaolo Marino. « Cela a été une grosse surprise pour moi, se souvient ce dernier. Je venais à peine de boucler le recrutement de l’Udinese pour la saison 2004-05. Début septembre, je reçois un coup de fil à 7 heures et demie du matin : c’était De Laurentiis. Je ne le connaissais que de réputation et j’ai d’abord pensé à une plaisanterie. Mais il m’a vite convaincu en m’exposant mille choses sur ses activités, ses projets. Nous nous sommes vus en Suisse, où il tournait un film, et nous avons passé une nuit entière à discuter de la reprise du Napoli. En repartant, j’étais conquis. »

A Marino le soin de superviser l’installation de l’équipe dans le nouveau centre sportif, le Village de Varcaturo, à une vingtaine de minutes du San Paolo. De constituer le staff technique autour de Giampiero Ventura, préféré à Giovanni Vavassori, ancien joueur du Napoli. Et, surtout, de bâtir un effectif immédiatement compétitif pour envisager la remontée en Serie B au terme de la présente saison.

Si, aujourd’hui, bien calé dans un fauteuil de son QG, Marino affiche un beau sourire, alors qu’à quelques mètres ses joueurs se défient en toute tranquillité au billard, il sait très bien que cette mission comporte de très gros risques, que le Napoli a beaucoup à perdre et que sa marge d’erreur est minime. « La Serie C est un univers impitoyable. Et pour nous, les problèmes se sont multipliés dès le départ. Nous avons su que Naples était sauvé seulement une bonne semaine avant la reprise officielle du Championnat et nous avons dû tout organiser en l’espace de quelques jours. Y compris la mise en place de l’équipe. Pensez donc que, lors des premiers entraînements, les joueurs ne maîtrisaient même pas le nom de la plupart de leurs coéquipiers ! Et puis, je ne vous parle pas de la préparation physique de l’équipe, par force approximative et irrégulière, qui explique en partie nos difficultés de début de saison. »

Naples dispose-t-il véritablement d’un groupe pour remonter ? Marino fait un aveu : « Le marché étant déjà clos pour tous les autres clubs, nous n’avons pu obtenir la plupart des joueurs désirés. Du coup, nous avons dû recruter ceux qui, pour une raison ou pour une autre, avaient été mis de côté, récupérant quand même des éléments valeureux. Et surtout, nous avons constitué un groupe jeune, 24 ans de moyenne d’âge, alors qu’elle est de quatre ans plus élevée dans notre Championnat. »

A Naples, au-delà de l’enthousiasme des supporters au stade (pas si aveugles que ça : les joueurs ont déjà eu le droit à quelques broncas), la plupart des observateurs se gardent bien de pécher par excès de confiance, de considérer le Napoli déjà en Serie B. Chacun campe sur une prudente réserve, comme Antonio Juliano, ancien milieu de terrain puis directeur sportif du club (il a notamment participé au transfert de Maradona au pied du Vésuve) : « Le futur du club est encore flou. Tout le monde rêve de Serie A, ce qui est logique pour une cité comme Naples, mais il faudra gagner la première étape, c’est-à-dire le Championnat de C 1 et ça ne sera pas facile. Lorsque l’équipe a été inscrite, certains pensaient probablement que les Azzurri allaient gagner tous les matches. Ils se sont trompés. Nous allons devoir transpirer jusqu’au bout. »


CINQ ANS POUR ÊTRE EUROPÉENS

Angelo Rossi, spécialiste du Napoli au quotidien Tuttosport, est encore plus explicite : « Entre prêts et contrats rachetés à moitié, la nouvelle équipe n’a coûté qu’un petit million d’euros. Beaucoup de joueurs ont accepté de renoncer à la Serie A ou à la B parce qu’ils n’y avaient plus d’ouverture, mais ils ne sont pas pour autant vraiment adaptés à un Championnat aussi particulier que la C 1. C’est pour cela que Naples a connu des difficultés sur le terrain. Le public ? Il est toujours important, mais a déjà commencé à baisser. D’ici janvier, l’équipe doit occuper les tout premiers rangs, sinon l’enthousiasme va définitivement retomber et la course vers la montée risque d’être compromise. »

De Laurentiis et Marino n’y songent même pas. « Comme notre président l’a déjà déclaré, intervient le directeur général du Napoli Soccer, nous avons tracé un plan de cinq ans au bout duquel nous espérons être européens. Au niveau structurel, notre objectif est de transformer le club en “ public company ”, par le biais de la cotation en Bourse ou sous une autre forme : le Napoli appartiendra à ses supporters, à tous ceux qui le soutiennent. Avec, bien sûr, à la base un patron économiquement viable pour en assurer la pérennité, Aurelio De Laurentiis. Je pense sincèrement que son arrivée va signifier un tournant décisif pour le club. C’est un véritable expert des droits liés au sport. Il a des projets ambitieux pour la télévision, l’UMTS, le digital terrestre, Internet... En quelques semaines, il a réussi à acheter les droits télé pour la Serie C 1 et à les revendre à Sky. Pour lui, le football est une passion et un investissement. Rentable. »

Ce modèle est-il viable ? Le contexte économique du football italien, pas très réjouissant dans son ensemble, s’y prête-t-il ? A Naples, échaudé par un changement de siècle chaotique, on aurait tendance à se méfier, faute notamment à l’expérience désastreuse des Corbelli et Naldi. « Il serait injuste de leur jeter la pierre, estimait voilà peu Corrado Ferlaino. Les problèmes de Naples étaient ceux de tout un système. Presque tous les clubs se sont endettés pour assurer les salaires des joueurs. Ces derniers ont exigé des salaires élevés sans s’intéresser à la situation de leurs clubs respectifs, au fait que les droits télé sont allés presque exclusivement dans les poches de quelques-uns au détriment de la majorité. Qui a cédé à la pression des joueurs et supporters l’a payé très cher. Aujourd’hui, plus personne ne peut rivaliser économiquement avec Juve, Milan et Inter. Naples ? Vu ses coûts de revient, il ne pouvait supporter au maximum qu’une saison en B, pas les cinq qu’il a dû subir en six ans. »

« Il est évident que l’avènement des droits télé cryptés a desservi le Napoli, estime, lui aussi, Antonio Juliano. Tant que les recettes aux guichets constituaient la plus grosse partie du budget, Naples, grâce à son incomparable ferveur populaire, pouvait lutter presque à armes égales. Ensuite, cela n’a plus été possible. » La crise économique qui a durement touché la région au début des années 90, les problèmes sociaux (violence, chômage, criminalité organisée) qui affligent chaque jour un peu plus la plus grande ville du sud de la péninsule, ont fait le reste, accompagnant le club dans un état de sinistrose permanente. Jusqu’à la mise à mort en été 2004.

« C’est pour cela que l’arrivée de De Laurentiis a été vécue comme une libération par les supporters, souligne Angelo Rossi. Il a su imposer un consensus autour de son nom. Mais l’on manque encore de recul pour évaluer la qualité de ses programmes. » Certains restent perplexes, se demandant pourquoi le producteur agit aujourd’hui alors que, en 1999, il s’était dit prêt à reprendre le club pour 50 M€, pour ensuite ne s’intéresser qu’à un rachat partiel. « Des hypothèses ont alors vu le jour, poursuit Rossi : De Laurentiis aurait pu intervenir poussé par Silvio Berlusconi en personne, sachant que le nouveau président de Naples entretient d’excellents rapports avec Adriano Galliani (vice-président du Milan AC). »

D’autre part, de nombreux tifosi se demandent pourquoi De Laurentiis n’est pas intervenu quelques jours avant la mise en faillite du club. « Tout simplement parce que, ainsi, il n’a pas eu à éponger les dettes et a pu repartir de zéro », estime Rossi. Pas sûr que la chose ait été facilement digérée par quelques-uns des habitués du San Paolo. Pour eux, la descente en Serie C 1 est une honte qu’il sera impossible de gommer.


A. F. et R. N.

lundi 8 octobre 2007

"Chasse aux Napolitains"


Suite des incidents de Samedi qui se sont déroulè a Giuseppe Meazza .

Voici un témoignage envoyé par un tifoso partenopeo qui réside à Milan. Il n'y a pas de mots pour décrire ce fâcheux épisode narré, où nous nous limiterons à retranscrire ses mots.



Gent.mo Directeur,

Je vous écris pour signaler un fâcheux épisode arrivé pendant la rencontre inter- Naples.
Je suis Napolitain d'origine mais vie depuis 1982 dans la province de Milan pour des raisons professionnelles.

Après diverses péripéties nous avons réussis à nous procurer des billets (settore Verde II anello), et samedi nous nous sommes rendus au stade Meazza pour assister au match.
C'est seulement après l'achat en arrivant au stade que j'ai découvert que nous aurions a assisté à la rencontre assis entre les ultras des interisti, mais la chose ne m'a pas effrayée plus que ca car j' était convaincu qu'il aurait suffis ne pas participer avec emphase aux actions de jeu de Naples, et tout se serait correctement déroulé.
Donc arrivés au stade j'ai parqué l'auto dans le parking géré par la ville, en déboursant la modique somme de 10 Euro.
À l'entrée nous avons été fouillé, et j'ai été privé de mon briquet.
Après être entré, nous avons trouvé notre place (secteur 231) et nous nous sommes assis dans l'attente que la partie commence.
Tous (ou presque) les spectateurs autour de nous étaient en possession de briquets et de bouteilles en plastiques (avec bouchons) contenant du vin ou de la bière (en outre l'odeur âcre des soi-disantes "cannes" régnait ).
Au fur et a mesure que le temps s'écoulait les chants devenaient de plus en plus offensants, faits qui entre autres, vous a déjà etait décrit.
Après cinq minutes de jeu quelques napolitains, qui se trouvaient dans le secteur Orangier, ont commencé à y agiter des drapeaux de Naples (entre eux se trouvaient beaucoup d'enfants).
À ce moment là environ 100 ultras des interisti encagoulés ont bondis : ils ont escaladés les grilles et sont entrés dans ce secteur où se trouvaient les napolitains, et accompagnés des cris "UCCIDETELI, TUEZ LES LEUR", ils ont commencés une véritable "chasse au Napolitain".
Les stewards sont restés immobiles, mais encore les plus ridicules ont été les policiers, qui sont arrivés 10 minutes aprés , en laissant les interisti libres d' escalader de nouveau, pour retourner dans leur secteur.
Évidemment les Napolitains dans ce marasma générale ont changé de place pour éviter le pire. Heureusement avec mon fils nous avons pu voir la partie jusqu'à la fin sans problèmes, en serrant nos gorges pour ne pas exeluter lors du But de El Pampa.

Firmato, G.T.

N.B Veuillez m'excuser pour les fautes d'orthographe, de conjugaison et de grammaire.

Source : Napoli2000.com

Convoqués équipes nationales

Ils sont 3 azzuri convoqués dans leurs équipes nationales respectives

Hamsik jouera lui pour les éliminatoires de l' Euro Slovaquie- Saint Marin le 13 octobre, puis en match amical croatie- Slovaquie le 16 octobre.





Garics jouera avec l'Autriche deux matchs amicaux : Suisse - Autriche le 13 octobre et Autriche- Côte d'Ivoire le 17 octobre.








Et enfin Gargano disputera deux matchs amicaux : Uruguay- Bolivie le 13 octobre et paraguay- Uruguay le 17 octobre.

Agression de tifosis Napolitains

Enième actes d'agressivités contre les tifosis des partenopei, cette fois-ci les tifosis interisti ont attaqués quatre tifosis napolitains qui ont réussient a prendre la fuite vers la tribune présidentielle pour rechercher un abri contre leurs agresseurs.

Après les banderoles "Naples égout d'Italie" ," Ciao Collera", "Napolitains Tuberculeux"et après les choeurs illusoires de "Vous retournerez en Série B". Voici donc un énième acte de violence de la part des Ultras Intéristes, bien plus grave de ceux qui ont provoqués la fermeture du San Paolo.

L'épisode des banderolles a soulevé une polémique même dans la classe politique.

Dans une note le sénateur Gentile, de Force Italie, affirme :

"Cette banderole "vergognoso" mériterait des sanctions trés lourdes et l'arbitre Rosetti aurait dû suspendre la partie.
Il est vraiment absurde que l'arbitre Rosetti n'ait pas suspendu la partie : contre Naples il y eu des décisions fortes qui avaient été prises pour des faits insignifiants mais le pouvoir du football est toujours dans les mains des habituels clans ".

Même la senatrice Maria Burani Procaccini a demandé des mesures très dures de la part du Figc et de la Ligue.

Nous verrons bien si le juge sportif appliquera le même barème de jugement aux supporters de l'Inter de Milan que celui qui est réservé aux napolitains.


dimanche 7 octobre 2007

inter napoli 2-1 06/10/2007

INTER (4-4-2): 12 Julio Cesar; 4 Zanetti, 2 Cordoba, 25 Samuel, 26 Chivu (Maxwell 46'); 7 Figo, 5 Stankovic (Burdisso 60'), 19 Cambiasso, 31 Cesar; 9 Cruz (Suazo 78'), 8 Ibrahimovic.
PANCHINA: 1 Toldo, 6 Maxwell, 16 Burdisso, 30 Pelè, 10 Adriano, 18 Crespo, 29 Suazo. All. Mancini

NAPOLI (3-5-2): 1 Iezzo; 96 Contini, 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 2 Grava (Garics 55'), 17 Hamsik (Calaiò 86'), 23 Gargano, 18 Bogliacino, 19 Savini, 25 Zalayeta (Sosa 79'), 7 Lavezzi.
PANCHINA: 22 Gianello, 16 Cupi, 14 Garics, 4 Montervino, 20 De Zerbi, 9 Sosa, 11 Calaiò. All. Reja

ARBITRO: Rosetti di Torino

BUTEURS: Cruz 20', Cruz 35', Sosa 85'

AVERTISSEMENTS
: Samuel 17', Stankovic 36', Cannavaro 40', Bogliacino 47', Burdisso 87', Garics 89', Contini 91'


NOTES

IEZZO 7 ,CONTINI 6,CANNAVARO 5,5 ,DOMIZZI 5 ,GRAVA 5 ,HAMSIK 5,5 GARGANO 5,5 ,BOGLIACINO 5,5,SAVINI 5 ,LAVEZZI 6,5,ZALAYETA 5,GARICS 6 SOSA 7


jeudi 4 octobre 2007

INTER MILAN - NAPOLI


FORMATIONS PROBABLES


NAPOLI (3-5-2):1 Iezzo; 96 Contini, 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 2 Grava, 17 Hamsik, 23 Gargano, 18 Bogliacino, 19 Savini; 7 Lavezzi, 25 Zalayeta.

REMPLACANTS: 22 Gianello, 16 Cupi, 3 Rullo, 4 Montervino, 20 De Zerbi, 11 Calaiò, 9 Sosa. All. Reja


INTER (4-3-1-2): 12 Julio Cesar; 4 J.Zanetti, 2 Cordoba, 25 Samuel, 6 Maxwell; 5 Stankovic, 19 Cambiasso, 31 Cesar; 7 Figo; 10 Adriano, 8 Ibrahimovic.

REMPLACANTS: 1 Toldo, 16 Burdisso, 26 Chivu, 21 Solari, 9 Cruz, 18 Crespo, 29 Suazo. All. Mancini

ARBITRO: ROSETTI di Torino

Interdiction de Stade


Par mesure de sécurité le maire de Milan en collaboration avec le Ministere de l'Interieur ont décidé de placer le match de Samedi Niveau 4 en interdisant aux supporters napolitains l'accès a San Siro en groupes organisés.

Mais l'équipe partenopea ne manquera pas de soutien Samedi soir, en effet ils sont nombreux, les supporters Azzuri qui sont en train d'acheter des places pour le match Inter-Naples directement à Milan.

lundi 1 octobre 2007

Napoli Vs Genoa 1-2



NAPOLI (3-5-2): 22 Gianello; 16 Cupi (Hamsik 33'), 28 Cannavaro, 21 Domizzi; 14 Garics, 8 Blasi, 23 Gargano, 18 Bogliacino (Sosa 62'); 19 Savini; 7 Lavezzi, 25 Zalayeta (Calaiò 74').
PANCHINA: 12 Del Giudice, 2 Grava, 96 Contini, 4 Montervino, 17 Hamsik, 9 Sosa, 11 Calaiò. All. Reja

GENOA (3-5-2): 73 Scarpi; 25 De Rosa, 3 Bovo, 16 Lucarelli; 24 Konko, 19 Paro, 28 Juric, 77 Milanetto (Coppola 60'), 8 Danilo (Papa Waigo 86'); 11 Leon (Sculli 55'), 22 Borriello.
PANCHINA: 1 Lanza, 23 Ghinassi, 5 Coppola, 7 Rossi, 14 Sculli, 21 Di Vaio, 19 Papa Waigo. All.Gasperini

ARBITRO: Pierpaoli di Firenze

MARCATORI: Cannavaro (C-S-C) 12', Domizzi (rig.) 52', Sculli 89'
AVERTISSEMENTS: Savini 19', Bovo 20', Lucarelli 22', Blasi 87', Lavezzi 90', Borriello 90', Garics 92'