Le président du Napoli a prit position après les décisions prises par le Viminale et s'est dit en désaccord avec les mesures prises qui mélange les voyous avec les bons Tifosi."Les fans qui créent la violence ne représentent jusqu'à 0,5% du total de Tifosi- a déclaré le président Napoletano - et c'est absurde de vouloir le huis clos au san paolo. L'État doit plutôt défendre les società et les bons supporters. Je ne suis pas intimidé par les quelques fauteurs de troubles qui n'ont rien à voir avec le football, mais il faut que l'État remette en place une législation appropriée. "
"Il n'est pas concevable que les protagonistes de ces actes répréhensibles soient des tifosi du Napoli. Ils sont infiltrés et ils instrumentent l' évènement sportif comme prétexte pour attaquer les Forces de l'ordre en profitant de la médiatisation que peut apporter un match de football. Je soutiens avec conviction qu'on doit poursuivre ceux qui se font passés pour des tifosi et qui se camouflent avec la partie saine et correcte des supporters azzurri, afin de commettre des actes de violences. On doit créer des lois spécifiques pour le football pour vaincre cette minorité et qu'on les punisse, tout en défendant les Società de football qui ne peuvent pas être jugées pour responsables alors qu'au contraire elles représentent les partie lésées"
"Ma Società - continue le Président - a appliquée à la lettre les règles sur les billets nominatifs, en respectant toutes les procédures prévues par la loi. Naples est une ville pleine de gens bien qui n'ont aucun rapport avec un nombre limité de personnes violentes. On ne peut pas pénaliser une ville entière et toute sa tifoseria saine. J'ai voulu le Napoli par amour. Lorsque j'ai décidé de racheter le club, j'ai renoncé à produire un film à Hollywood de cents millions de dollars. J'ai choisis d'être le Président azzurro lors de mon congé de 10 jours à Capri. Mon projet est de mettre en place une activité sportive saine et divertisante qui puisse concilier le sport avec le spectacle et aussi la passion et la chaleur de cette splendide ville. Et il est certain qu'un petit groupe de personnes violentes ne puissent pouvoir desserrer l'amour qui m'a complètement prit pour le Napoli"
Le président napolitain a même conclu en menaçant de quitter le club si l'état ne prenait pas les choses en main.
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